Non, bien sûr!

L’année passée, j’ai eu l’opportunité de donner des conférences dans le secondaire sur le thème de la toxicité, grâce à Essencia. Ça a été l’occasion de me rafraîchir la mémoire sur mes cours de licence, mais aussi de découvrir des données intéressantes*: comme beaucoup de gens, j’ai longtemps cru que les tests sur les animaux étaient la seule méthode fiable pour établir la toxicité d’une substance (un médicament, par exemple) avant de se permettre de faire des tests sur les humains. Seulement voila: il se trouve que les organismes vivants sont tellement complexes, que même deux rongeurs quasi-identiques (des deux espèces très cousines) peuvent réagir radicalement différemment à une même dose d’une même substance. Genre: l’un meurt, l’autre gambade avec indifférence. Et ainsi vient la question qui tue: mais quel crédit accorder à des données toxicologiques récoltées sur des animaux, lorsque l’on passe à l’humain? Comme le fait remarquer très justement un article sur Agoravox: les humains ne sont pas des rats de 70Kg.

Au-delà de l’absence de fiabilité des résultats de tests sur les animaux, il y a bien entendu la question qui me touche tout particulièrement en tant que végétalien de la cruauté envers les animaux.

 

 

Par ailleurs, il existe des méthodes alternatives.

* Je n’ai plus les références. Oui, je sais, c’est pas bien. Mais vous avez ma parole d’honneur que c’est vrai 😀

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