Le prix Nobel de Chimie a cette année été décerné à des chimistes théoriciens pour leur apport dans ce domaine, et l’apport de ce domaine à tant de disciplines liées à la chimie.

La chimie théorique parait encore pour beaucoup de gens comme une bizarrerie. L’image populaire du chimiste demeure une personne en tablier blanc qui manipule des éprouvettes et des liquides colorés dans un laboratoire carrelé. À chaque fois que l’on me demande ce que je fais comme recherche en chimie, les gens sont surpris d’apprendre que je travaille dans un bureau, devant un ordinateur. Avec un peu de chances, de prix Nobel donnera ses lettres de noblesse à la chimie théorique auprès du grand public…

Plus d’infos: http://www.lemonde.fr/prix-nobel/article/2013/10/09/prix-nobel-de-chimie-a-une-equipe-specialisee-dans-la-modelisation-des-reactions-chimiques_3492548_1772031.html

 

Mon homme et moi fêtons aujourd’hui quatre ans depuis que nous nous sommes mariés, soit nos noces de ‘ ‘cir‘ ‘.

Je faisais encore la réflexion à mon Georges il y a peu de temps: je l’aime encore plus qu’au premier jour! Nous vivons le mariage comme une libération, et notre union est plus que la somme de chacun.

La photo ci-contre a été prise lors de notre mariage, le 7 octobre 2009.

Mon mari et moi-même fêtons sept ans de bonheur en commun.

Mon ange a été très romantique pour cette occasion: fleurs, table réservée dans la taverne où nous avons pris notre premier verre ensemble… Il s’est même habillé pareillement à notre première rencontre! Et comme je ne rentre plus dans le T-shirt orange que je portais à l’époque… Il m’en a offert un autre!

Mon Georges, chaque jour passé avec toi est une bénédiction!

 

La photo a été prise à la dernière Gay Pride de Bruxelles. Les T-shirts nous ont été offerts par mon frère et ma belle-soeur. On peut y lire « Marié à Georges » sur le mien et « Marié à Nicolas » sur celui de mon Georges.

Mais que fait Nicolas pour se détendre? De la pâtisserie, pardi!

Malheureusement, ça ne marche pas toujours aussi bien que je le voudrais. Ci-contre, un exemple de cupcakes pomme & caramel. Et encore, je ne vous montre que les plus « réussis ». Cela dit, la recette pourrait resservir pour Halloween…

Enfin, c’est ma faute aussi: je n’ai pas voulu suivre la recette qui prévoyait 2 tasses et demie de sucre impalpable… Que j’ai remplacé par l’équivalent en sucre cristallisé, pour la couverture à la douille. Du vrai béton (la douille a failli se casser, c’est la « crotte » à gauche de la photo). J’ai essayé de rattraper le coup en diluant avec du lait de soja, puis en ajoutant du praliné,… le résultat (le « vomi ») est à droite de la photo.

Au prochain coup, je vous montre quelque chose de réussi! 😉

J’ai commencé mon doctorat en chimie en septembre 2005. Le simple fait d’écrire cette date laisse imaginer à quel point j’ai envie d’enfin clôturer ma thèse.
J’ai débuté en obtenant une bourse FRIA (merci au FNRS!). Ce genre de bourse dure 4 ans et m’aurait permis de faire de la recherche à près de 100 % durant ces années. Si je m’en étais tenu à ça, j’aurais déjà terminé en 2009. Seulement voilà, pendant ma première année, je me suis rendu compte que j’allais devenir fou si je ne faisais que ça. Il faut aussi dire que, à cette période, je ne faisais quasiment que de la programmation. Du coup, je n’avais presque aucun résultat « chimique » à présenter.
J’ai postulé pour un poste d’assistant, et j’ai été accepté. J’ai donc laissé tomber ma bourse FRIA et je ne l’ai pas regretté. L’assistanat, c’est un contrat de 3 X 2 ans payé par l’université avec de l’enseignement à « mi-temps » (séances d’exercices et laboratoires avec les étudiants) et la thèse à « mi-temps ». J’ai mis des guillemets autour de « mi-temps » puisque, comme pourra vous le dire toute personne qui a travaillé dans l’enseignement, ça déborde toujours. J’ai A-DO-RÉ mon rôle d’assistant.
Puisque à la fin de mon contrat d’assistant je n’avais pas terminé ma thèse (septième année, donc), mon promoteur m’a trouvé un financement pour pouvoir faire une année supplémentaire. Oui, j’ai une chance folle.
Maintenant que j’arrive au bout de ma huitième année, je suis vert d’inquiétude à l’idée de ne pas pouvoir terminer dans les temps. Je termine (je crois) de rédiger, mon contrat se termine fin août, je vois le bout du tunnel… !

Ces derniers temps, je suis tombé sur deux vidéos où, sous couvert humoristique, on tue des bébés. Non, pas pour du vrai, bien entendu. Mais n’empêche.

N’y a-t-il pas des tabous légitimes? J’avoue: je suis de ceux qui affirment que: non, on ne peut pas rire de tout (comme ça je réponds à la question du titre de l’article 🙂 ). Je ne trouve pas non plus drôle les blagues où il est question de viol, de pédophilie, etc…

Et pourtant, je ne suis pas non plus un rabat-joie qui tire la tête jusque par terre en permanence et qui s’habille en noir (mais non, je ne parle pas des gothiques).

 

 

Les vidéos en question, pour vous faire une opinion:

 

J’ai fêté mes 30 ans ce week-end (je compte fêter ça en plusieurs fois), lors d’un goûter d’anniversaire autour d’une théière de tisane et des gaufres maison chocolat-fraise-liqueur de fraise.

Mon mari m’a couvert de cadeaux! des jacinthes, des chemises, des assiettes immenses, … !

Entre autres cadeaux de nos amis, j’ai reçu un livre de Jonas Jonasson: « Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire ». Oh, mais si, je veux le fêter! 🙂

Nous venons de fêter nos trois ans de mariage – déjà trois ans!

Même si le contexte est un peu morose (mon mari est en congé maladie), ça a été l’occasion de fêter ensemble.

Ah, mon homme, chaque minute passée avec toi est un délice!

La semaine passée, deux événements chargés d’émotions se sont produits.

D’abord, le décès de notre ami Michel. Une disparition brusque et bouleversante. C’est injuste… Son mari et lui ont été un si beau couple, j’oserais dire: des exemples.

Ce week-end, nous avons été au mariage d’un couple d’amis en Angleterre. Le hasard a fait que le marié s’appelle aussi Michel, et que cette même semaine on a fêté saint Michel.

Mon mari et moi avons acheté notre maison il y a trois ans près du centre-ville, à proximité de plein d’arrêts de bus et de la gare des trains pour pouvoir nous passer le plus longtemps possible d’une voiture. Les autos, ça pollue et ça coûte cher.

Seulement voilà: d’ici environ un an, je devrai normalement me trouver un nouveau job… Et dans mon domaine, si je veux bosser dans une boîte privée, je pourrai difficilement me passer d’une voiture. Terrrrrrible dilemme!… Qui n’en est pas vraiment un, dans la mesure où nous n’avons pas le choix.

J’ai essayer de retourner la situation dans tous les sens pour trouver la solution la plus économique… Qui n’est malheureusement pas la plus écologique, au vu du prix des voitures électriques. J’ai voulu à priori éviter l’achat: rien que de penser à toutes les choses que ça implique, j’en ai des frissons:

  • l’achat en lui-même,
  • l’éventuel emprunt nécessaire,
  • l’immatriculation,
  • la taxe de mise en circulation,
  • l’assurance,
  • le carburant,
  • l’entretient,
  • l’impact sur les impôts, …

Rien de tout cela ne figure dans ma liste de souhaits, à priori. J’ai donc été voir du côté de Cambio, la solution de partage de véhicules. Puisqu’en lieu et place de partage, il me faudrait un véhicule à l’année, mon calcul approximatif débouche sur un prix mensuel d’environ 750 €. Oui, c’est beaucoup… Mais en même temps, Cambio n’est pas prévu pour ce type d’usage non plus.

Et le leasing? Super-idée, non? Location tout compris, avec possibilité de rachat du véhicule en fin de location, après plusieurs années!… Oui, sauf que si on n’est pas une entreprise (véhicule de société), rien n’est déductible des impôts (corrigez-moi si je me trompe), et ça revient toujours trop cher.

Alors, que reste-t-il? Et bien, la pire des solutions: l’achat. Cela dit, je reste réticent à l’idée d’acheter en occasion, sachant que cela multiplie les risques de frais importants en entretient. En neuf, de ce que j’ai pu voir, Dacia semble bien s’en sortir avec une voiture de 5 places et un coffre à partir de 6000 € (en promo, tout de même). Enfin, il nous reste encore un an pour voir venir les choses et différer l’achat…

J’adore la Roumanie: elle m’aura donné le plus merveilleux des maris, et une voiture pas chère (non pas que l’un ait un rapport avec l’autre, hein!).