Pride le film.

Voilà un film que j’aimerais aller voir.

Le bon côté, c’est qu’il est inspiré des faits réels qui se sont vraiment passés…

Le mauvais côté, ce sont les côtés pas très moraux qu’on met trop souvent en avant, lorsqu’on parle des LGBT.

Jacky au royaume des filles.

Nous venons de regarder la comédie Jacky au royaume des filles. Un vrai chef d’œuvre!

«Dans ce film», disent les commentaires, «les femmes ont le pouvoir, et les hommes portent le voile et s’occupent du foyer.» Moi, je dirais que cette comédie démontre que, tout simplement, le partage des sociétés entre mâles et femelles n’a rien d’ontologique. Ce ne sont que des rôles arbitraires.

Quelques extraits de ce film se trouvent sur YouTube.

Tintin en Arménie?

Il y a quelques semaines, j’ai découvert quelque chose de bizarre dans l’un des épisodes de Tintin. Il y a là un texte en arménien, qui représente les noms: Արմէն (Armén), répété, et Սիրակ (Sirag = «Sirach»), ainsi qu’un nom de famille mal orthographié.

Devrait-ce être un «Tintin en Arménie?»

À propos d’Arméniens, l’autre jour j’ai découvert un groupe de métal chrétien arménien: Blood Covenant. Voici leur version du Notre Père, sur YouTube.

Je viens de découvrir le documentaire «Mes parents sont homosexuels, et moi dans tout ça.»

Vous pouvez le regarder sur YouTube, en cliquant sur le lien.

Malheureusement, dans le film, il y a, entre autres, un freudien qui raconte des conneries, mais cela n’enlève rien à la qualité des témoignages de ce film.

Ci-contre, la famille de Lucas.

Il y a également un reportage-témoignage d’un quart d’heure ici.

Mon Nicolas vient de m’offrir la première saison de la série Flikken.

Flikken est une série dont l’action se passe à Gand.

Ça me fait beaucoup penser à la série The Shield.

Midway.

Je voudrais vous relayer la bande-annonce du film Midway, qui parle de la pollution du plastique: sur les îles Midway, les oiseaux meurent, à cause des déchets humains.

www.midwayfilm.com

Client espion.

Qui n’a pas ris, en regardant Louis de Funès jouer le client espion?

Malheureusement, ce genre de personnage existe dans la vie réelle. «Mais pourquoi pas?», diraient certains; «après tout, le client espion agit pour le bien de tous les clients.»

En réalité, le client espion n’a pas les mêmes observations que les autres clients; le client espion ne poursuit que ce que demandent de lui ceux qui l’ont embauché.

Prenons un exemple. Supposons une pizzeria. Le client réel s’en fout complètement de l’ordre du couteau et de la fourchette, de la couleur de la serviette en papier. Lui, il veut que sa pizza soit vite prête, qu’elle soit délicieuse et pas chère. Au contraire, le faux client suivra les règles des patrons; il sera moins attentif aux qualités recherchées par le client, mais il sera exigeant quant aux petits détails insignifiants: serviette, position des couverts.

Pire encore, si la pizzeria appartient à une chaîne étrangère d’un peuple barbare, le client espion demandera des sanctions contre les serveurs, parce que ceux-ci n’ont pas été impolis comme le peuple barbare. Car si à la maison-mère on s’adresse en général aux clients en disant: «Hi, Jane! My name is Jacky, and I’ll be your support. Please try our Pizza Salami delicacy!», ce genre de remarque n’est pas adaptée chez nous. Pire, ce serait mal vu de dire à une dame: «Salut, Jeanne! Je suis Jaques, à ton service. Essaie, s’il te plaît, notre pizza salami!» Non. Chez nous, on est poli. On dit «Madame», on vouvoie, et on permet aux clients de choisir. On ne les prie par de prendre ce dont on veut se débarrasser. Tout au plus, si le client de sait pas choisir, on peut lui faire une suggestion. Chez nous, on est poli. Mais le client espion n’appréciera pas la politesse typique de chez nous; il la considérera comme un manque de soumission aux règles de la chaîne.

Donc voilà pourquoi le client espion ne peut être quelqu’un de bien ailleurs que dans les films.

Le pire, c’est quand la chaîne n’a pas assez de sous pour acheter de nouvelles assiettes à la place des abîmées, mais elle a des sous assez que pour payer un faux client. Un espion.

Pendant la crise après la seconde guerre, on a accusé les femmes. Et l’on a organisé des cours de ménage pour les femmes. Ça n’a pas remédié. Les femmes étaient juste des boucs-émissaires. Aujourd’hui, on tape sur les ouvrier, les employés et d’autres travailleurs: d’autres boucs-émissaires.

Nous avons été regarder au cinéma le dernier film Harry Potter. J’ai été complètement déçu! Il me semble que le film ne transmet pas le message du roman. Il y a beaucoup d’action, beaucoup d’effets spéciaux, mais l’essetiel est perdu, oublié, tronqué, mal compris et mal interprété.

L’autre jour, nous avons été regarder Le Premier qui l’a dit au cinéma.

Le réalisateur Ferzan Özpetek, qui a eu également des difficultés d’acceptation de la part de son propre père, lui a dédié ce film. Le personnage de Luciana incarne les trois tantes du réalisateur, alors que la trame du film est largement inspirée de l’histoire d’une famille apulienne.

Nicolas ne l’a pas trop aimé. Quant à moi, j’ai adoré ce film.

En voici quelques extraits.

Pour la petite histoire, il me semble que Riccardo Scamarcio ressemble à Jan Smit; et le titre germanophone Männer al dente me semble plus approprié.