En allant l’avant-midi de Noël à l’église épiscopalienne (anglicane) de Waterloo, j’ai vu dans l’hymnaire américain un hymne latin (là, traduit en anglais), que je ne connaissais pas: Puer natus in Bethlehem. Du coup, pendant les différentes pauses, je l’ai traduit depuis le latin vers le français (ci-dessous). Je viens de me rendre compte que Georges Pfalzgraf l’avait également traduit, et que la version francophone du premier et du septième couplets sont quasi identiques chez lui et chez moi.
L’enfant est né à Bethléem:
Oh, resplendis, Jérusalem!
R.: Nous t’adorons dévôts,
Christ maître
Qui viens de naître,
Avec un chant nouveau.
Prenant la chair, tu vins des cieux,
Ô Fils très haut du Père Dieu. – R.
La Vierge reçut Gabriël,
Et te conçut, Emmanuël. – R.
Comme un marié du lit nuptial,
Tu sors du ventre virginal. – R.
Dans la mangeoire, sur le foin,
Tu gis, toi qui règnes sans fin. – R.
Et l’ange annonce à ces pasteurs
Que le bébé, c’est le Seigneur. – R.
Les mages viennent de l’Orient,
T’offrant de l’or, myrrhe et encens. – R.
Entrant chez toi, ô Prince élu,
Chefs des païens, ils te saluent. – R.
Lumière de lumière née,
De vierge-mère es engendré. – R.
Sans la morsure du serpent,
Tu es issu de notre sang, – R.
De notre chair, humain en tout,
Mais sans péché, distinct de nous, – R.
Pour racheter tous les humains,
Pour toi, le Père et l’Esprit-Saint. – R.
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