En rentrant d’Utrecht, du 31ème congrès international, je voudrais vous faire part de mes impressions.
Le père Mark et moi sommes arrivés jeudi soir. L’ouverture du congres, avec les évêques présents, s’est faite dans la Cour sainte-Marie, près de la cathédrale Sainte-Gertrude. De là, la procession s’est rendue à la cathédrale Sainte-Gertrude, où les évêques ont béni l’eau et l’on a chanté les vêpres.
Vendredi nous avons regardé une pièce de théâtre, très bien préparée par les hôtes hollandais. Des ateliers ont eu lieu, le matin et l’après-midi, sans compter les matines et les vêpres. Une visite du musée-ancien couvent Sainte-Catherine nous a été offerte, ainsi que le souper là-bas sur place.
Hier, samedi, on a eu la grand’messe en la cathédrale Saint-Martin, le Dôme. Malheureusement, je n’ai pas pu photographier ni filmer la célébration. Parmi le clergé à l’autel il y a eu non seulement les évêques vieux-catholiques, mais également Mgr David Hamid de chez les anglicans, ainsi qu’un évêque de l’Église Mar Thomas (Église orientale d’Inde). À la messe ont participé également l’ancienne reine Beatrix et le bourgmestre d’Utrecht.
Je pense que la chose qui m’a marqué le plus, c’était le fait de rencontrer des gens. Bien entendu, j’ai pu revoir des amis catholiques-chrétiens (vieux-catholiques) de Belgique, Suisse, France et Pays-Bas et des connaissances d’Angleterre et des États-Unis, mais également rencontrer pour la première fois des gens de partout, et tisser des liens avec des vieux-catholiques de Pologne, Croatie et Belgique!
Il est important, me semble-t-il, de constater qu’une paroisse n’est pas une île. Les deux premiers jours du congrès, nous avons été ± 400 personnes; hier soir à la grand’messe ± 900 personnes. Si j’ai un petit regret, c’est de ne pas avoir pu le temps d’échanges plus longs et plus profonds. Mais comme on a gardé les adresses, cela pourra continuer. Comme quoi, le congrès n’est, tout compte fait, qu’un début.
Les photos: 1. l’ouverture du congrès; 2. vêpres à Sainte-Gertrude; 3. présentation thématique.
no comment untill now