Je viens de trouver un article, écrit en 1951 par l’évêque serbe Velimirović, intitulé La femme comme symbole du Christ. L’argumentation me semble très intéressante. En effet, le Christ nous a laissé beaucoup de paraboles, dont les protagonistes – le Samaritain, le Semeur, le veau gras, le fils du viticulteur, etc. – sont interprétés comme étant le Christ lui-même. Sauf que, dans deux cas, les protagonistes des paraboles sont des femmes: la femme qui cherche de drachme perdu, la femme qui pétrit la pâte. Il a été plus facile aux écrivains chrétiens d’identifier le Christ comme le veau gras plutôt qu’une femme. N’empêche, les Pères de l’Église n’ont pas eu de difficultés à identifier le Christ comme la Sagesse de Dieu dont parlait l’AT.
Oct
22
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