Oct
06
Dans une demi-heure, je prends le train pour aller du côté de « chez moi ». Quand je dois m’identifier à une partie de la Belgique, c’est le Condroz qui me semble le plus intime, là où le colza et le fumier sentent bon.
Mais cette fois-ci j’y vais à la messe des funérailles de celui que certains appellent « le Père Jean-Marie », d’autres « l’abbé Delvigne », ou encore d’autres, un peu pour rire, « Papy Delvigne » ou « Papy Jean-Marie ». C’est chez lui que j’ai été en stage pastoral à Ciney, il y a quelques années.
no comment untill now